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Mais il y a une suite…
(Sessions in English too)
Découvrez le livre de Stephen Vasey
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Mais il y a une suite…
Peut-être comme vous, j’ai essayé de suivre un peu le feuilleton du procès en diffamation de Johnny Depp et d’Amber Heard. J’en ai un sentiment de nausée et de tristesse immense. Les problèmes...
J’en ai eu des séparations de couples, d’histoires et d’aventures. C’est toujours douloureux. Cela fait probablement partie du risque d’être vivant. Des fois je me dis “je deviens un vrai...
…. Oui il existe un vaccin pour un changrin d’amour, c’est de continuer à aimer. Continuer dans l’invisible à entourer cet être aimé-e de lumière, de gratitude, d’estime, d’appréciation. Car si nous avons réellement aimé, alors cela se donne hors du temps, sans conditions et sans contraire….. Le fait de nourrir en secret et de façon désintéressée cet amour nous apporte un soutien pour l’âme d’abord, pour le coeur ensuite. Oui il s’agit de donner, c’est cela qui nourrit. C’est aussi cela qui garde ouvert et positif.
Et puis si nous avons vraiment aimé, comment pourrions-nous ne pas ou ne plus aimer ? Aimer c’est donner à l’autre les meilleures conditions pour son épanouissement. Si le Ciel cessait de nous aimer et de nous garder la porte ouverte car nous nous sommes mis de travers, alors comment pourrions-nous nous relever ?
Merci pour votre proposition que je trouve très inspirante et qui montre une direction, une issue.
Sacré challenge aussi! L’avez-vous vécu vous-même? Si vous désirez me répondre, svp, pouvez-vous le faire en 10 lignes maximum? Merci!!!
Merci Stephen pour tous ces partages précieux et collectifs. Oui j’ai vécu deux grands chagrins d’amour et aussi des petits… Chaque fois j’ai gardé un espace silencieux de gratitude et de soutien vis à vis de mon ex-compagne compagne. De fait , pour mon bout de relation, c’est moi qui avait choisi cette relation et la vérité est que j’y ai beaucoup appris, j’ai beaucoup reçu. Alors je vérifie qu’il est possible de vivre à la fois le chagrin et la gratitude aimante. Inutile de chercher des fautes et surtout ne pas entrer dans les reproche car chacun a fait ce qu’il a pu à ce moment là. J’ai aimé ces femmes et je les aime encore, nous grandissons.
Pierre-André
Paroles saisies entre un médecin et sa très jeune patiente :
« S’il existait un comprimé pour que tu l’oublies, est-ce que tu le prendrais ?.. »
— Non, plutôt mourir…